Perte de poids albertville alabama

Par M. Première partie. Ce sont : Conflans, la ville haute, qui trôna tout l'Ancien Régime sur son gradin de confluence taillé en promontoire, fière des avantages de sa route, de ses marchés et de son enceinte; L'Hôpital, en bas, dans la plaine alluviale, modeste bourg agricole Perte de poids 3x5, à la faveur de la sécurité croissante et d'un site -mieux adapté aux conditions économiques modernes, soutira peu à peu à sa rivale jalouse et obstinée tous "ses avantages jusqu'à la détrôner et l'absorber.

C'est la loi commune à toutes les villes jumelles dont le dualisme se trouve renforcé par une notable dénivellation, comme à toutes les villes perchées, où un bas quartier créé à la faveur de la descente d'une route, de la proximité de la gare ou du trafic fluvial, finit invariablement par supplanter, la ville haute et la transformer en ville morte.

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En haut le site défensif, la ville forte, l'oppidum ou la citadelle, en bas la ville ouverte et marchande; en haut le passé, le pittoresque et le souvenir, en bas la vie moderne et les affaires. Conflans, au moins nominalement, justifiait bien tous les attributs qui s'attachent à ce nom éminemment géographique.

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Sous des formes plus ou moins altérées ou simplement synonymes, Confolens, Coflans, Conflens, Coblentz, Condé, Condate, Entrêves, Entraigues, il évoque partout l'idée d'une agglomération aux abords d'un confluent de rivières, de leurs vallées et de leurs routes. C'est à la fois un carrefour ou croisée des chemins de pénétration; un débouché commun à chacune de ces vallées; un point de passage obligé dont l'importance est faite de celle de ces vallées et de leur trafic. C'est le plus souvent un point lallaitement maigrira-t-il transit à proximité d'une barrière naturelle -ou politique et douanière.

Parfois aussi, c'est une ville de lisière et un marché, trait d'union entre deux régions différant par leur sol, leur climat, leurs perte de poids albertville alabama, leur relief; un point de soudure qui établit le contact entre la montagne et la plaine.

On sait l'importance de ces points privilégiés, même en pays de plaine. Mais en montagne, en pleine zone alpestre, la nécessité est plus forte encore.

Le confluent commande rigoureusement le carrefour et, par voie de conséquence, l'habitat, le marché, le bourg hôtelier.

Les déplacements de l'agglomération y sont interdits ou seulement autorisés dans l'étroite limite réservée entre les pentes raides des versants et les eaux diva- gantes, également inhospitalières. Le cadre montagneux. Il sert de commun débouché à la Tarentaise, au Val d'Aiiy et son tributaire le Val Saint-Maxime, du Doron de Beaufort, à l'entrée de la Combe de Savoie, tronçon elle-même de la grande dépression subalpine. Il occupe le fond de cette dépression, à l'endroit précis où elle cesse de se dilater au N.

Les Bauges ne présentent qu'une façade au carrefour, leur pli le plus oriental, celui de la Belle-Etoile m. Décoiffé de sa carapace urgonienne, réduite à quelques lambeaux sur la retombée perte de poids albertville alabama flanc N.

Son arête n'est plus qu'une croupe de marnes hauteri- viennes, chauves et herbues, qui défient le taillis, striées verticalement par les ravins que collecte le fougueux Ghiriac Leur soubassement de calcaires jurassiques durs, gondolés et tordus, projette les bastions décapés du Roc Rouge m.

Ils reposent eux-mêmes sur une masse énorme de marnes bajociennes et de schistes tendres du Lias où le Chiriac a eu beau jeu pour affouiller sa gorge. Au total, son allure de muraille bosselée, sa perte de poids albertville alabama étriquée où ne trouvent place que de rares montagnettes et un chétif peuplement pastoral d'été, son maigre taillis à peine respecté par le ravinement et qui contraste si fort avec le superbe boisement du flanc N.

Elles sont une barrière sévère et dont toute l'utilité pour Albertville est de lui servir de paravent contre la bise du N. Rarement escaladée par les montagnards, les bûcherons et les touristes, on la tourne plus aisément et plus communément par Ugine ou le piercing du ventre de perte de poids de Tamié.

En face s'alignent, suivant l'axe de la dépression subalpine, les massifs centraux du- Grand- Arc m. Ils donnent l'impression de se relayer du S. Le Grand-Arc, à la façon d'un énorfhe cétacé, coïncé entre la Basse-Maurienne, la Basse-Tarentaise et la Combe de Savoie, plonge son échine doucement sous les alluvions de l'Isère, face à' Gonflans.

De ces deux masses, celle du Mirantin détache vers l'W.

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Sa pointe se pousse en promontoire au droit de la Combe de Savoie comme une perte de poids albertville alabama d'angle dont l'importance est capitale parce qu'elle y règle le tracé des rivières et leur point de confluence et parce que ses bosses étagées sont autant 1 — 9 — de vigies, des observatoires, des sites défensifs, aujourd'hui un remarquable groupe de forts et de batteries qui lui confèrent un rôle protecteur incontestable avec la maîtrise du carrefour.

L'espace y est mesuré, mais l'escalade relativement facile. L'homme devait s'accommoder, faute de mieux, de ce perchoir modeste et bas, dominant de 80 mètres la plaine et ses eaux, qui le garantissait contre leurs divagations et réalisait, avec les avantages de son site défensif, les conditions d'une viabilité adaptée avec effort à une longue période de troubles comme aux besoins du trafic local.

Les vallées. Elles sont un présent de leurs vallées, les quatre vallées du carrefour : celles de l'Arly, du Doron de Beaufort, de l'Isère et de la Combe de Savoie. Comment se présente leur morphologie au carrefour? Le Val d'Arly inférieur, d'Ugine à Albertville, paraît être un ssé tectonique, un synclinal aménagé en bordure du Beau- rtin. Dans l'état actuel de la vallée, les deux bastions de calcaire jurassique dur du Roc Rouge et de la Sellive sont incontestablement des lambeaux d'un synclinal perché dont le flanc E.

Beau champ d'opération pour l'érosion de la période glaciaire, qui contribua sûrement, - 40 — d'ailleurs, à son creusement et à sa dilatation. Il présente le gros intérêt d'une auge glaciaire à peine remaniée par l'érosion fluviale, impuissante à relayer le glacier qui l'a approfondie et élargie. Il y a place pour deux talwegs longitudinaux : le Chi- riac et l'Arly. Le premier, simple gouttière monoclinale, a été creusé par les modestes difiluences glaciaires d'Allondaz, de Chevronnet et de Perthuis, qui ont isolé les bosses moutonnées du Tal, de Bermond et de Château- Vieux.

Elles faisaient retour au glacier de l'Isère à l'aval par la vaste échancrure de l'Aidier, qu'une gorge perte de poids albertville alabama a raccordée au niveau remblayé de l'Isère actuelle. A l'amont, l'énorme moraine latérale d'Allondaz au Fort de Lestai a aveuglé la gouttière, la réduisant à un bras mort glaciaire. Dans l'ensemble, ce val d'Arly fait figure de seuil péniï ment et imparfaitement décapé entre la Gombe et la Gluse Faverges.

L'instrument d'érosion, opérant alternativement vers l'amont et vers l'aval, y aurait ouvert deux encoches, l'une secondaire, abandonnée parce que moins accusée, celle du Ghiriac. L'autre dépression, celle de l'Arly, l'encoche principale, au versant d'ombre, retint plus longtemps le glacier; au surplus, elle bénéficiait du renfort amené par le Doron. Toutefois, son brusque étranglement en amont d'Albertville atteste un état d'indigence frappant par rapport à l'imposant déblaiement observé dans le coude de la Basse-Tarentaise et la Gombe de Savoie.

Les preuves de son indigence, née de son bassin réduit et de ses diffluences par la cluse de Faverges et les encoches latérales - - Il - au Chiriac, l'Arly les a accumulées dans le fond et les flancs de son auge. Le fond, uniformément remblayé et raccordé à l'Isère, d'Ugine à Albertville, apparaît plutôt comme une succession de deux ombilics, tout au moins de deux bassins. C'est d'abord celui de Marthod, dilaté au détriment des schistes tendres de la rive droite et à la faveur du confluent d'une branche du glacier du Doron.

A l'aval, celui d'Albertville, non plus fermé comme le précédent, mais largement ouvert sur la Combe avec la complicité très opérante du glacier de l'Isère perte de poids albertville alabama avait i out déblayé devant lui et préparé la voie avec son niveau de base.

Un défilé de 3 kilomètres les relie, large de mètres au plus, à "peme dilaté au droit du confluent du Doron, à peine suffisant pour l'écoulement des grosses eaux. L'historique des crues prouve qu'il ne Test plus du tout aux grandes inondations générales. Il y embouteille alors les débâcles conjuguées venues d'Ugine et de Beaufort.

La route récemment descendue le long du torrent s'en défend par une digue qui a déjà connu toutes les infortunes. Les eaux barrées s'accumulent à Marthod, grosses de menace, quand le barrage cède, pour Albertville, son pont, ses artifices, ses maisons et sa plaine. Les flancs ont un profil en escalier.

C'est, sur la rive droite, un étagement confus de gradins, replats, sites des villages de Bermond, Chacroix, Etraz, Pallud, Villard, entre mètres à la bosse du Tal et mètres 20 m.

Quelques-uns se compliquent de gouttières ouvertes par le ravinement latéral. C'est la réplique de tous les accidents avec leurs moutonnements, leurs stries ou brèches, pentes et contre- pentes, décrits par M. Blache, sur le versant de même nature, homogène et tendre, de la rive gauche du Grésivaudan x, mais 2 — 12 - en bordure d'une vallée beaucoup plus large et plus évoluée.

Nombreux et désordonnés sur les formations tendres de la rivedroite, ils sont beaucoup plus discrets sur le versant opposé, cristallin et dur. Dans l'ensemble, la trouée du Doron mise perte de poids albertville alabama part, il est à peine égratigné et les replats ou niveaux d'érosion n'y sont bien marqués que là où le versant est réduit à une arête plus sensible aux coups de scie latéraux qu'au burinage dans le versant plein.

Quant à leur concordance de niveau sur les deux versants, la différence de nature et de résistance des roches la rend difficile, décevante et partant tout à fait illusoire. Toutefois, risométrie approchée de Conftans m. Elle semble bien révéler, avec son allure gaufrée, un ancien fond d'auge glaciaire, le dernier niveau de la vallée suspendue de l'Arly avant le creusement actuel camouflé' par la masse de remblaiem-ent qui porte Albertville.

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Ainsi Conflans et Pallud couronneraient les deux gradins de confluence, les deux témoins respectés de ce niveau. A mètres environ au-dessus s'échelonne un autre complexe de bosses, gouttières et plans de la Farette, Pommarey m.

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Sa gorge de raccordement ne dut commencer à l'entamer que du jour où la régression du glacier de- 1,'Arly et de Tlsère put lui donner la voie avec l'appel d'un niveau de base brusquement abaissé.

La vallée du Doron. La pente kilométrique sur ce parcours de G kilomètres est de 33 mètres contre 8 sur l'Arly, d'Ugine a Albertville, et — 43 — 2 dans la plaine de confluence. C'est un étroit défilé dont l'étranglement ne laisse de place qu'à la rivière et où la raideur des versants oblige la route en surplomb à l'enjamber d'un pont perte de poids en soins de longue durée droit de la bosse des Rocagers.

A vrai dire, il est encore en instance de raccordement, sa pente et son profil l'attestent manifestement. Les causes de cette imparfaite évolution se doivent demander au brusque raccord du talweg- au perte de poids albertville alabama de Ven- thon et à l'incomplet décapage de sa moraine terminale de Venthon-Plan-Montessuit, peut-être simple nappe subordonnée d'origine beaufortaine.

La jeunesse du défilé du bas Doron pourrait tout aussi bien attester le stationnement de son glacier sur le front du bassin de Queige et son indécision à choisir entre la trouée de Venthon et la porte de décharge de la Forclaz m. Le débouché de la Basse-Tarentaise. En effet, à l'aval de l'étroit déj filé de Briançon à Rognaix, la basse vallée de l'Isère se trouve subitement dilatée, avec un fond plat remblayé, atteignant de à 1.

Sur 12 kilomètres, jusqu'au confluent, sa pente kilométrique tombe à 4 m. Ge n'est pas l'appoint des modestes émissaires locaux des cols de Basmont et de la Bàthie qui peut porter la responsabilité de ces dimensions, non plus que la masse homogène des schistes sériciteux, à peine moins résistants que' ceux de l'amont.

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La solution, vraisemblablement, se peut trouver dans l'existence de l'ensellement de Rhonne à Gonflans, où l'axe cristallin, réduit a un seuil, aurait cédé à une remontée d'érosion partie de la Gombe, car il n'est pas impos- — U - sible d'évoquer, ' pour expliquer le brusque coude de Tours, l'hypothèse d'une capture d'une ancienne Isère dirigée vers Ugine. Un autre élément d'intérêt du débouché de l'Isère tarine, c'est la différence des deux versants.

Rive gauche, le flanc est raide, sauf de modestes cabochons à Rhonne; c'est le côté de l'ombre, où le glacier, plus longtemps puissant, a sapé vigoureusement le versant. L'autre flanc, au contraire, exposé en plein soleil, a été sculpté en verrou, avec tout un cortège de bosses, d'encoches étagées, attestant la collaboration de la glace et de l'eau dans un appareil diminué et en proie à la fusion. Ainsi s'est constitué, sur ce promontoire, l'élément capital de la morphologie du carrefour.

La plaine de confluence, — Arly et Isère confluent sous Gon- flans dans un ample bassin qui dépasse les limites du cadre urbain.

Cependant il est possible d'y distinguer les éléments d'une plaine d'Albertville proprement dite, bornée au N. L'ensemble est un rectangle de 4 kilomètres de long sur 2,5 de large et dont le petit côté, N. Sa superficie atteint bien près de 8 kilomètres carrés. Malgré son exiguïté, il y a place et matière à divisions tout aussi géographiques que les limites; véritables petites entités qui n'ont pas échappé à l'observation et à l'utilisation humaines et qui ont joué chacune leur rôle dans l'histoire et l'évolution de l'agglomération du carrefour.

Le verrou de Conflans mis à part, cette plaine est coupée en deux compartiments inégaux et fort distincts par le fossé de l'Arly : la plaine de Gonflans sur l'Isère, la plaine de l'Hôpital ou d'Albertville sur la rive droite de l'Arly et des deux rivières réunies.

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Le dignement y a mis un- terme en collant la rivière contre le versant cristallin de la perte de poids albertville alabama gauche, à seule fin d'épargner la plaine, ses cultures, ses installations, la voie ferrée, la route de Tarentaise au pied du versant opposé, avec sa rue de maisons en bordure. L'autre, circonscrite planche de perte de graisse simplement l'Arly, l'Isère, le Chiriac et les hauteurs, est la plaine d'Albertville, tout entière occupée par le cône de déjections de FArly.

Ses alluvions se sont déposées et s'étalent en un éventail très surbaissé, large de 2 kilomètres à sa base, à la faveur d'une pente kilométrique qui se relève rapidement au débouché dans la Combe. Cette base va se coincer à la rencontre du cône du Chiriac, se souder à ce barrage de près de 10 mètres, postérieur an remblaiement actuel perte de poids albertville alabama la vallée, nullement recoupé et qui avait tendance à refouler sur Grignon l'Arly et l'Isère avec leurs alluvions. Si le Chiriac, après bien des infortunes, a pu être maintenu sur le dos de son cône, l'Arly rectifié a été rejeté sur la bordure E.

Mais dans l'intervalle de ces deux cônes sensiblement surélevés, demeurait découverte en contrebas une petite surface triangulaire, point de concentration des eaux d'infiltration des cônes, jointes à celles qu'y recueillait le ruissellement du versant.

L'écoulement en devait être pénible Je long de la ligne à peine déprimée par où se faisait la soudure des deux nappes alluviales. Dans cette poche souvent inondée se trouvaient reléguées des eaux stagnantes, avec la seule utilisation végétale qui s'en pouvait accommoder.

C'était le domaine des communaux des gens de l'Hôpital, leur verney, leurs prés-marais. Les quelques granges installées aux abords y devinrent plus tard le village permanent de Clopet.

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Une tuilerie s'y fixa en vue d'exploiter l'argile fine et bien lessivée de son fond vaseux. Le diguement, terminé enne l'assécha pas brusquement. Les alluvions du versant schisteux et du ruisseau do l'Etraz y opérèrent un colmatage automatique mais lent. La carte de l'E. Aujourd'hui, en- place de l'étang et des marais colmatés et drainés se sont installés d'opulentes cultures, des champs de maïs, des prés-vergers et de profitables treillages.

Le cadre montagneux, ses vallées, leur basse plaine de confluence et le. Ils sont aussi les facteurs de son climat, joints à la latitude qui place Albertville à peu près au centre des Alpes humides du N. Le cadre montagneux, par la grande élévation de ses sommets à réserve neigeuse puissante et persistante, exerce jusque sur la ville une influence refroidissante.

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4. Я не мог ошибиться, Николь, - настаивал Ричард.

En bas, l'inversion de température rend la plaine glaciale en hiver par temps beau et calme et y fait diiïérer le départ de la végétation, toujours en retard sur celle des coteaux. Elle se comporte à la. Les versants en place n'ajoutent rien au climat sinonleurs points d'abris et leur tranche d'insolation intense et de bonne exposition que recherchent avidement les cultures, la vigne et l'habitat. Latitude, altitude, disposition du relief déterminé par l'orientation des vallées : tels sont donc les facteurs du climat d'Albertville.

Leur jeu influe diversement sur les élé- — il — ments ou les manifestations de ce climat : la temperature, les vents, les précipitations. La température est l'élément le moins bien connu, faute d'observations suivies.

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Jl ne peut être fait état que du voisinage des deux seules stations auxquelles Albertville peut servir d'intermédiaire en latitude et altitude. Le même phénomène est responsable des brises périodiques qui pendant la nuit descendent et le jour remontent les vallées.

Les vents vents. A des journées très chaudes succèdent des soirées subitement fraîches En somme, la direction des vents à Albertville est ce que l'ont faite ses vallées eonfluentes et les trouées de son cadre montagneux.