Défi de perte de poids de 28 jours

Société 28 jours sans alcool : une expérience pas si facile… Enfin! Le 1er mars est arrivé!
Pourtant, je ne suis pas une si grande buveuse. Dans ma cuisine, je danse, je chante, je roucoule presque de bonheur en préparant mon traditionnel drink du vendredi.
La conversation est agréable, on est contents de se revoir, mais je sais maintenant que je peux vivre sans lui.
À propos de nous
Les vendredis soir. Il y avait souvent une bière pour les adultesun bol de chips, un souper tardif, de longues discussions autour de la table et une ou deux de ses amies qui se joignaient à la famille. Perdre ces moments de bonheur et de détente a eu un effet inattendu.
Je suis fatiguée. À lire aussi: Le plaisir de changer ses habitudes — oui, vraiment!
Face à de petites embûches, je me mets à ruminer et à douter de moi. Pourquoi ce sevrage me fait-il un tel effet?
Car rééquilibrer son alimentation et se remettre au sport demande de la motivation.
Deux ou trois verres, deux ou trois soirs par semaine. Je ne suis pas alcoolique, non?
“ Si tu attends pour agir, tout ce que tu gagneras avec le temps c’est l’âge!”
Mes symptômes ne sont donc que psychologiques. Deuxième semaine. Si je veux survivre à février, je dois trouver un placebo, ne serait-ce que pour les vendredis soir.
Et ça fonctionne! Je parviens à décrocher et à mieux me reposer. Bon pour la santé?